J’ai peine à entrer dans ce fonctionnement bloggien qui m’entraine à écrire et exprimer ce que je ressens. Ce genre de cahier intime ne correspond pas vraiment à ma façon d’interagir avec le net. La blogitude ne m’atteint pas. Dommage. J’aurais bien aimé que des milliers de commentaires s’amoncellent. J’aurais pu alors parler de trace, puis philosopher sur ce concept et ses dérives.
Au lieu de cela, je gribouille et gribouille encore. Je m’essaie aux petits vers sur fond noir. Je poste sans lendemain.
26 janvier 2012