Un pavé, ça se prépare. Il faut certains ingrédients de base. Dans notre cas, plus question de feuille mais un ordinateur, du temps, une idée de comment on voit le pavé. Pour essayer de le rendre digeste, il faut une sorte de thématique, un esprit d’analyse, surtout un esprit de synthèse avec un zeste d’esprit créatif pour dessiner sa forme fatale. Le 10 janvier, nous sommes encore tout engourdi d’une nouvelle année dont on ne sait si elle sera bonne ou mauvaise. Nous la souhaitons meilleure que la précédente. Nous voudrions tous du bonheur, de la santé, du travail. Nous avons tous une idée de ce que représentent ces trois concepts. Ce sont les meilleurs à souhaiter. Nous n’en cherchons pas d’autres. Nous cherchons dans 2010, la clé des chiffres. 2.0.1.0, quatre chiffres ronds, deux mille dizaines. Un signe qui nous donnerait l’assurance que la vie n’est pas faite que d’incertitudes, d’inconnus que l’être humain lambda déteste par dessus tout. Nous voudrions que ce soit une bonne année… comme mon pavé.
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