Je ne vais pas supporter la comparaison aux pavés très longtemps. Et si mes pavés se transformaient en pixels. Ah ! Là, ce serait le bonheur. Des millions de pixels qui s’amoncèlent sur le net au gré des écrits, des blogs, des mots.
Ah ! Le changement ! Changer mais changer pour du mieux… Changer pour améliorer… Pour que le bien se répande et que le mal recule, s’éloigne… Combien de vies faudra-t-il avoir vécu avant de ressentir cet accès au bien-être humain ?.. A quel numéro de vie chacun de nous en est-il ? Avec Internet, notre représentation du temps se réduit comme peau de chagrin. Le temps file, nous filons avec lui et alors, si la vie s’accélère et il nous faudra changer de vies plus souvent. C’est un effet d’entrainement. Il faut abandonner ses pavés : trop lourds à porter. Il faut changer ! Ne pas s’habituer, ne pas s’ancrer dans une idée et ainsi s’adapter. Adieu veau, vache, cochon, pavé !
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