On trouve vraiment ce que l’on veut sur la toile. Elle se tend à l’infini. Enfin non, pas exactement mais la sérendipité nous accompagne sans cesse dans notre flânerie quotidienne qui constitue, je le répète un luxe de regarder le monde, de se le représenter comme s’il était à nous. Bref, après m’être demandée combien coûte un nuage (très cher apparemment… notons la conjugaison… « aurait coûter »… la pudeur s’impose), et m’être rassurée sur la raison pour laquelle ma tête ne cesse de naviguer dans cette zone maintenant réputée dangereuse, j’ai surfé au gré de l’heure sur des blogs qui me font apprécier la plume des autres. En guise de plumes, dirions-nous des poils, des poils de chats. Ces animaux ont le don de nous calmer. Leur indépendance et leur fierté, paradoxalement, nous apportent la quiétude que nous avons depuis longtemps perdue. Imprévisibles dans leurs réactions, ils nous rappellent que la nature est riche et diverse et qu’ils se moquent du CAC40 comme de leur première tétée.
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